A taaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaable!!! (Episode 1)

Derrière ce titre nostalgique (?) des années où l’on se pointait en trainant des pieds dans la salle à manger pour siéger au dîner familial, le sujet que je vais aborder aujourd’hui est, tu t’en doutes, la nourriture en Nouvelle-Zélande.

Non pas que je sois obnubilée par tout ce qui est susceptible de satisfaire mon estomac et mon palais (quoique…), mais je me suis décidée à faire la lumière sur ce sujet obscur pour beaucoup d’entre nous concernant Aotearoa: qu’est-ce qu’on y mange?

Voici donc le prmeier article relatant mes palpitantes (ou pas) aventures gastronomiques (ou pas) à l’autre bout du monde. Au menu aujourd’hui, supermarchés, fast food et mal du pays (non, ne t’enfuis pas déjà, je te promets que tout sera raconté dans la joie et la bonne humeur!).

 

Comment je suis devenue l’attraction des employés du Countdown du coin

Certains d’entre vous sont au courant, mes premières courses ont été une grande expérience dans mes débuts sur le sol kiwi. En effet, après avoir constater que mes réserves alimentaires se résumaient à une boîte entamée de Mikado, un simili-Lion et un paquet de chewing-gums, remplir les placards de ma cuisine s’est naturellement placé au top de mes priorités. Je me suis donc retrouvée dans le supermarché du coin… Complètement perdue.

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Oui, c’est bien moi sur la photo.

Les expats acquiesceront sans doute avec le regard peiné de ceux qui ont vécu des épreuves difficiles: si voyager à l’étranger est génial quand on mange tout le temps au restaurant ou à l’extérieur, quand il faut acheter de quoi cuisiner, c’est tout de suite plus compliqué. A priori, l’organisation des rayons me semblait familière. C’était sans compter l’esprit fourbe ayant conçu mon Countdown local: ainsi, au rayon céréales, fruits secs et confiseries, on trouve aussi des cartes postales, des ampoules et des magazines. Les jouets pour enfants sont à côté de la nourriture pour animaux (je ne peux m’empêcher de m’interroger sur la logique qui a mené à ce choix)… Juste derrière le rayon boulangerie (sic) industrielle, faisant face aux produits surgelés bien-sûr!

En plus de mes nombreux allers-retours à travers le magasin mettant à l’épreuve mon sens de l’orientation, j’avais à gérer une autre difficulté: le choix des produits, un casse-tête digne des charades de Picsou Magazine. Mon premier ets un nombre incroyable de marques dont je n’ai jamais entendu parler. Mon deuxième est une nouvelle fourchette d eprix qu’il faut (en bonus!) convertir. Mon troisième est la douloureuse constatation de ne pas connaître tout le vocabulaire concernant chaque catégorie de produits (qui se doutait que la personnalité d’un jus de fruit était si complexe?). Mon tout a pour résultat un sacré mal de crâne et une appréhension terrible à chaque nouvelle expérience culinaire (tout le monde croise les doigts pour ne pas mourir empoisonné!). Dans ces moments-là, tu te dis que tu as de la chance de ne pas être dans un pays asiatique où, vu tes performances actuelles, la langue et la culture alimentaire complètement différentes t’auraient achevé.

Enfin, me spremières visites au supermarché m’ont appris à modifier ma liste de courses. Si j’ai droit à des produits géniaux et inédits, j’ai aussi dû faire une croix sur certains aliments. Parmi les inconnus au bataillon néo-zélandais: les compotes, le parmesan (remplacé par une odieuse contrefaçon de gruyère produite en Australie: bitch, please!), la charcuterie, un choix abondant de biscuits et céréales, les pommes de terre surgelées, les knackis (merci Marie!), les petits suisses (ah, ces tragédies quotidennes…), les pâtes à tarte, la levure en sachet, les biscottes… Je suis néanmoins rescapée du rapatriement sanitaire par la présence bienvenue du beurre salé. Les produits néo-zélandais sont similaires à ceux qu’on trouve en Australie et au Royaume-Uni, avec une grande fierté pour le ‘made in NZ’. Les produits asiatiques sont assez présents également.

 

La culture du fast food

Pour avoir un aperçu de la différence entre Nouvelle-Zélande et France, il suffit d’allumer la TV et de regarder, plus que les programmes eux-mêmes, les (nombreuses) pages de publicité. Ainsi, la bonne moitié des coupures pub est consacrée à la nourriture. Pas si différent de la France, n’est-ce pas? Sauf qu’ici, la majorité ne concerne que les fast food et pas la ‘vraie’ nourriture, celle qu’on peut acheter dans un magasin.

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En NZ, il ne fait pas bon d’être un mouton

Les Burger King, Pizza Hut et autres Wendy’s sont souvent ouverts 24/7 et désemplissent rarement. Seul le fish & chips au corner de ta rue les concurrencent avec de sprix plus compétitifs et l’avantage de la proximité. Pour économiser de l’argent, l’option du régime fast food est donc tentante tant la nourriture achetée en magasin est chère en comparaison. En effet, si les marques premier prix ou de supermarché sont omniprésentes aux côtés des produits ‘de marque’ en France, ce n’est pas le cas en NZ. En fin de mois, le choix ets souvent vite fait… Quitte à regretter des heures durant dans la salle de gym.

Enfin, l’image des fast food n’est pas la même ici. Parmi les émissions de cuisine qu’on trouve à foison (bien plus qu’en France d’ailleurs!), je citerai l’exemple de ‘My Kitchen Rules’, sorte de dîner presque parfait qui se fait en duo et où des juges professionnels (dont un Français assez reconnu ici, Manu Feildel) joignent les amateurs, qui ets sponsorisée par… McDonald’s! Je trouve qu’il y a un truc qui cloche mais ça a l’air de ne gêner personne.

 

Adieu gigot, ganache et saucisson

Parce que même si tu t’éclates à découvrir les spécialités locales quand tu es à l’étranger, le moment fatidique où, perdu dans tes pensées tu en viens à songer à un plat de lasagnes grâtiné, un pain au chocolat tout juste sorti du four, un couscous épicé ou un paquet de Granola arrive un jour ou l’autre. Et à partir de cet instant où, maudissant les douanes qui interdisent l’importation de rillettes, tu as réalisé que tu devais attendre quelques mois avant de pouvoir déguster, tu te surprendras à parfois croire sentir l’odeur alléchante de ton péché mignon culinaire. Courage, les moyens de gagner des kilos sont toujours plus nombreux qu’on ne le pense!

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Sachant que cette année, la Saint-Martin se fêtera sans toi (ô, tristesse), ta nouvelle préoccupation est de te procurer du foie gras pour Noël.

Etre Française en NZ… Pendant les J.O.

Je ne sais pas si tu te souviens de ce jour de juillet 2005 où la France entière apprenait avec déception que les J.O. 2012 serez hébergés par la perfide Albion. Je suppose que si à l’époque, on m’avait dit que je serais en Nouvelle-Zélande pendant ces J.O. j’aurais répondu ne même pas être sûre de savoir où c’est. Sept ans plus tard, je suis soulagée quand j’y repense parce que j’aurais détesté avoir à choisir entre une année dans l’hémisphère Sud et son calendrier étrange et l’incroyable opportunité de voir les J.O. du début à la fin chez soi.

But what’s done is done, et j’ai donc regardé la cérémonie d’ouverture d’un de mes évènements préférés un samedi matin en plein hiver. C’a été la première fois où je me suis vraiment rendue compte que je vivais à l’étranger.

 

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J’aurais peut-être dû y réfléchir à deux fois avant de le mettre dans ma valise celui-là

Etre Française à l’étranger pendant les J.O., ça a quelques inconvénients. Premièrement, tu croises les doigts pour avoir le câble chez toi si tu veux regarder les épreuves et tu planifies tes J.O. à l’avance, parce qu’entre rediffusions, chaines dédiées ou non et décalage horaire, il y a de fortes chances pour que tu te retrouves devant les qualifications pour l’haltérophilie féminine au lieu d’une finale en natation.

(En voulant illustrer cette comparaison, Google m’a suggéré « haltérophilie femme enceinte ». J’ai eu peur donc j’ai laissé tombé)

Parce que vivre les J.O. à l’étranger c’est aussi se voir refuser le visionnage des vidéos France Télévisions parce qu’elles ne sont pas disponibles dans ton pays, je peux t’assurer maintenant que les J.O. sans la réalisation à laquelle tu es habitué, les commentateurs qui suivent les sportifs depuis un bail et les interviews de Nelson Monfort les réactions des sportifs après coup et leur participation au traditionnel Stade 2 c’est comme aller au restaurant sans prendre de dessert: c’est super, tu es content mais tu aimerais bien être à la place de tes voisins quand tu vois cette appétissante part de tarte au citron meringuée et cette crêpe au caramel arriver (non la cuisine française ne me manque pas du tout). 

 

ImageQuand tu en viens à regretter les spots de France TV, c’est que la situation est grave

Enfin, il faut que tu essaies de contenir tes hurlements de supporter déchaîné à te briser la voix et avoir l’impression que c’est toi qui vient de finir ce match tellement tu as transpiré sous le coup de l’émotion et suite à tes gesticulades sur le canapé pour faire place à un patriotisme modéré. Parce que tes colocs font partie du Commonwealth et ont cette image d’une Française bien élevée qui ne maudira pas l’Angleterre devançant la France au tableau des médailles.

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Sois comme McKayla Maroney: Awesome, but not impressed

Je passe sur l’opportunité de voir la finale de Hand sur écran géant place de l’hôtel de ville, les adieux de Laura Flessel en entier ou les félicitations émouvantes d’une grande championne olympique à son petit frère sans les commentaires légèrement agaçants de journalistes (?) très ignorants.

 

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Imagine la fébrilité du commentateur étranger qui, en s’interrogeant sur l’identité de cette demoiselle, suppose qu’il s’agit d’une accolade romantique entre Florent Manaudou et sa girlfriend. Raté, c’est sa soeur (et accessoirement juste LAURE MANAUDOU. Mais bon.)

Mais vivre les J.O. à l’étranger ça a aussi quelques avantages. On profite un peu plus de l’ensemble des J.O. et pas que des épreuves où il y a des Français (si si, ça a des bons côtés). On apprécie encore plus chaque médaille obtenue quand on voit l’importance que ça a ici quand on est un petit pays à l’autre bout du monde. On est très fier d’être Français quand on voit sa délégation menée par Laura Flessel, la victoire dles Experts, les performances incroyables de La Villenie et Estanguet, un membre de Sciences Po décrocher l’or en judo ou l’incroyable équipe de natation.

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Dans ta face, USA

Et enfin, quand tu vois la qualité globale de la cérémonie de clôture, tu te dis que quand même, l’Angleterre est un sacré pays. Et que tu aurais eu bien du mal à assumer d’être Français face à un concert de Jonny Halliday ou Orelsan à la place si, sept ans auparavant, Paris avait remporté l’accueil des J.O. 2012…

Te Whare Wananga o Waitaha

Hi guys!

Après une absence abusive quand on pense que je viens juste de commencer ce blog de 3A, je compte bien me rattraper! Le sujet du jour pour cet article richement illustré (promis!)? UC elle-même.

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Nice to meet you

 

Dès mes premiers pas sur le campus, le nombre de différences avec Sciences Po m’a interpellée. Il serait d’ailleurs plus court de faire une liste des ressemblances plutôt, et je suppose que les futurs 3A aux USA auront encore plus à dire que moi! Mais voici les choses qui m’ont le plus marquée:

 

1. La taille du campus

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« On se croisera sûrement à UC »

 

University of Canterbury est une université classique, dans le sens où l’on peut tout y étudier et où on trouve une grande variété d’infrastructures. Le nombre d’amphithéâtres est impressionnant et il y en a de toutes les tailles, avec des fauteuils très confortables en guise de chaises, tout comme les salles de cours. Chaque bâtiment abrite une matière en particulier et puisque que les tremblements de terre ont fragilisé certains d’entre eux, des « villages » se sont ajoutés au campus. Ils consistent en une série d’allées, de jardins et de grands préfabriqués et on y trouve des bâtiments administratifs, des salles de travail et des salles de cours qui font deux à trois fois la taille d’une salle classique à Scpo. Des plans du campus sont disponibles un peu partout pour ne pas se perdre entre les bâtiments et dans les dédales de couloirs.

Avec 5 grandes bibliothèques et de nombreuses salles de travail, on regretterait presque les stratégies plus rusées les unes que les autres pour trouver une place à la bibl… N’importe où dans Scpo en fait. Il n’y a pas de sponsorship par Apple mais plus d’imprimantes, photocopieuses et scanners disponibles, ainsi qu’une vraie médiathèque avec des rayons de dvd et cd assez fournis. Les étudiants sont ici aussi affamés qu’à Paris, mais échangent les cafeterias bondées et venteuses pour un réfectoire plus grand que la Péniche, des bancs et pelouses à n’en plus finir et une dizaine de cafés, restaurants et petits supermarchés rien que sur le campus. Et si besoin, le health centre est ouvert à tous pour n’importe quel problème médical et gratuit lorsque vous êtes assurés.

 

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Saules cogneurs en fleurs

 

 

UC ne manque donc pas non plus d’espaces verts, terrains de sport et dispose d’un recreation centre où de nombreux sports en intérieur sont proposés, et où il est fréquent de faire un tour entre deux cours.

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Itinéraire classique pour rejoindre sa salle de cours

 

 

2. Le rôle de UCSA

 

UCSA est l’équivalent du BDE à UC. Attention, « équivalent » est à prendre avec des pincettes, ici ce sont les responsables ne sont pas des étudiants mais des employés, leurs bureaux étant à eux seuls l’équivalent d’un bâtiment de Scpo avant le tremblement de terre (et là j’ai une énorme pensée pour les étudiants en échange qui découvrent le local du 27) et ils peuvent utiliser les nombreux event spots du campus pour organiser des événements, comme le Winterlude, de (vraies) coupes de cheveux gratuites, des distributions généreuses de nourriture ou des concerts puisqu’il existe aussi deux bars appartenant à l’université.

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Ladyhawke, une des invités du dernier Winterlude

 

3. Les prix

Ce n’est pas sur le campus que vous économiserez de l’argent. Entre les textbooks obligatoires oscillants entre 100 et 200$ (70 et 140€), les impressions payantes (sans crédit généreusement octroyé en début d’année) et les sandwichs à 7$ (5€), on maîtrise très vite Trade.me pour les secondes mains et la fabrication maison de sandwichs… Si je trouve que les prix des manuels sont abusifs, le prix de la nourriture indique simplement que le but n’est pas d’aider les étudiants avec leur budget (et pour ça, nous sommes chanceux d’avoir le CROUS en France) mais de leur fournir des moyens de se divertir et des endroits plus proches d’eux. Les restaurants sont ainsi de très bonne qualité et la plupart des cafés rivalisent avec les standings parisiens.

ImageThe Shilling Club, un bout de classe parisienne dans une université à l’autre bout du monde

 

4. Les inscriptions pédagogiques…

… N’existent pas ici, et c’est probablement le plus doux des constats! Pendant deux semestres d’affilée, pas d’impression de voir son avenir joué en quelques clics et secondes, pas de stratégies à élaborer, de confoscope à passer au peigne fin, de suicide pour cause de semaine de lundi 8h à vendredi 21h15, de synchronisation à perfection ou de longs et vains combats avec l’administration. La plupart des cours auxquels nous avons accès (le cursus de Scpo ne me premettant pas de réaliser mon rêve de devenir rocket scientist en une année) n’ont pas de limite de places, ont lieu entre 9h et 18h, se font par séance de 50 min, ne demandent pas de présence obligatoire, n’imposent pas une charge de travail trop exigeante, vous proposent deux semaines en début de semestre pour changer un cours pour n’importe quel autre et en bonus, votre prof peut venir pieds nus.

ImageMême Kelly a du mal à y croire

 

Sciences Po trouve ici sa limite: la place. Avec plus de place, les horaires de cours seraient probablement un peu moins fous (vendredi à 8h ou 21h15, sérieusement?) et les inscriptions moins redoutées car la place serait un facteur de moins à prendre en compte pour essayer de satisfaire un maximum d’élèves dans leur choix de cours.

Je sais que la rue St-Guillaume manque à beaucoup d’entre nous (au moins dans un premier temps) mais pas à moi. Le poids de la pression sociale et des conventions est si léger ici que je ne m’en préoccupe pas vraiment. Je m’habille comme je veux, je me ballade en tongs en hiver, en chantant ou en talons sur un skate si l’envie me prend car peu de personnes y prêtent attention, et ça fait du bien de respirer un peu sans se sentir scruté(e) de toutes parts parce qu’on porte des chaussettes de la saison dernière (Paris je t’aime). Je n’ai pas non plus à faire face à une administration trop souvent indifférente aux élèves, à des débats sans fin ni solutions menés régulièrement par des élèves qui n’en savent pas plus que les autres et à un désenchantement global par rapport aux cours. Décidément Sciences Po est loin d’être parfaite… Mais UC ne l’est pas non plus.

Ainsi, malgré ses défauts, Sciences Po fournit toujours plus d’opportunités assez extraordinaires à ses chanceux élèves, et ne serait-ce que parce que c’est la raison pour laquelle je rédige cette article depuis la NZ et en partie ce pourquoi j’en suis là aujourd’hui, je ne m’en plaindrai pas plus!

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Parce que quand on veut, on peut

 

At world’s ends ou là où « la question ne se pose pas […]: il y a trop de vent.  » B. Vian

Il m’a fallu un moment pour commencer ce blog, si bien que la (folle?) expérience qu’est la 3A a déjà commencé pour moi il y a une semaine lorsque j’ai décollé de Paris pour ne pas y revenir avant un an.

Qu’est-ce qu’une année dans une vie? Qu’est-ce qu’une année lorsqu’on franchit le seuil de sa maison pour la dernière fois avant longtemps? Quelque chose d’inconnu et de merveilleux j’espère.Image

Sumner Beach, Christchurch (Matthew Post)

Me voici donc dans l’un des pays les plus éloignés de ma petite ville normande, écrivant ce premier article au début de l’hiver et en milieu d’après-midi, la tête à l’envers depuis la côte Pacifique sud de Nouvelle-Zélande.

On trouve de nombreux blogs racontant les voyages dans ce pays et j’espère pouvoir y apporter quelque chose d’un peu neuf, d’un peu différent, de plus personnel.

Comme tous les choix de 3A, le mien est motivé par plusieurs raisons que je raconterai plus tard et auxquelles j’ai pour projet de donner raison, justement!

J’essaierai donc au long de cette année qui vient juste de débuter de vous faire partager un bout d’herbe reflétant l’étrange lumière du soleil, de neige des calmes sommets des Southern Alpes, de plage de sable noir, de mon expérience à l’autre bout du monde.

Je ne promet toutefois rien de personnel pour les photos car je n’aime pas particulièrement en prendre mais comme dirait la moitié de Sciences Po, « le changement, c’est maintenant »!